Cinq heures à Tokyo, on quitte les bureaux
Et dans son auto où chante fort la radio
La journée finie et chacun rentrent prendre son thé à la maison
Honorable femme, diligente et charmante
A tout préparé, bain moussant pour sa détente
Le kimono repassé, honorable mai
 
C'est la geisha d'Hashimoto
Si modeste et si douce, elle s'appelle Anako
C'est l'honorable Hashimoto
Qui rentre fatigué et lassé des dossiers
C'est l'honorable Hashimoto
C'est la vie, c'est tourments qui l'ont trop épuisé
Mais son cri le délivre et il fait exploser
Oh tahio! Oh tahio!
La maison de papier
 
La nuit est tombée et il fait un peu frais
Oh sérénité, c'est l'heure de méditer
Et de contempler cerisiers en fleur, c'est tellement beau le Japon
Mais le chapardeur, le plus grand des voleurs
Rentre dans demeure quand ce n'est vraiment pas l'heure
Il cherche de Yens, l'honorable ami
 
C'est l'honorable Hashimoto
Qui va faire du rôdeur de tous petits morceaux
C'est l'honorable Hashimoto
Dont le cri de combat vous donne froid dans le dos
C'est l'honorable Hashimoto
C'est un vrai samouraï et il n'a jamais peur
Mais ses humbles adversaires qui fuient devant l'ardeur
Oh tahio! Oh tahio!
Pauvres tigres en papier
 
C'est l'honorable Hashimoto
Qui va faire du rôdeur de tous petits morceaux
C'est l'honorable Hashimoto
Dont le cri de combat vous donne froid dans le dos
C'est l'honorable Hashimoto
C'est un vrai samouraï et il n'a jamais peur
Mais ses humbles adversaires qui fuient devant l'ardeur
Oh tahio! Oh tahio!
Pauvres tigres en papier
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